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Un an après le début de la crise du covid-19, où en est le marché immobilier ?

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Depuis 1 an, avec le covid, l’immobilier a du s’adapter. La France passe de confinement en reconfinement, de couvre-feu en régime de semi-liberté. Après quelques mois de tâtonnement, les professionnels de l’immobilier se sont adaptés. Mais certains secteurs s’en sortent mieux que d’autres.

Depuis 1 an, la France vit à la vitesse du Covid-19. Si lors du premier confinement, le marché immobilier stagne depuis quelques semaines, alors les professionnels du domaine se sont adaptés depuis. Ce mercredi, BFM Business a diffusé un disque en édition spéciale, « Quoi qu’il en coûte, et après ? » à partir de 18h et qui fait le bilan des douze derniers mois de crise. A cette occasion, BFM Immo revient sur l’année que vient de traverser le marché immobilier.

Les ventes en immobilier ont bien résisté à la crise du covid

Si les chiffres officiels, ceux des notaires, ne sont pas encore connus pour l’ensemble de l’année, certains professionnels constatent d’ores et déjà que l’année 2020 est une très bonne année en terme de ventes immobilières. Sur BFM Business, Séverine Amate, porte-parole de SeLoger, note qu’il y a eu « à peu près 950.000 transactions réalisées ». Selon MeilleursAgents, lors du premier confinement (du 17 mars au 11 mai), le nombre de promesses de vente a chuté de 75%. « Le marché est reparti de plus belle connaissant, dès la seconde quinzaine de mai, un phénomène de rattrapage particulièrement brusque et rapide avec +370% de promesses de vente signées », raconte MeilleursAgents. Au point, à la mi-juillet, d’enregistrer +15% de transactions supplémentaires par rapport aux projections annuelles de MeilleursAgents.

Enfin, lors du deuxième confinement (du 30 octobre au 15 décembre), les professionnels de l’immobilier (agents, banques, courtiers, notaires, …) s’étaient adaptés, permettant de maintenant l’activité. Thomas Lefebvre, directeur scientifique de MeilleursAgents, note qu’au cours des derniers mois, « seulement 10% de transactions immobilières attendues n’ont pas pu être réalisées ».

 

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