Les prix de l’immobilier dans l’ancien ont augmenté de 7,4 % sur un an au 3e trimestre 2021, et ce phénomène devrait se poursuivre.
Même si les Français ont continué à concrétiser leurs projets immobiliers au 3e trimestre 2021, les volumes de transactions ont moins progressé qu’en août 2021. Cependant, les prix, n’ont pas encore fini d’augmenter.
1,2 million de ventes dans l’immobilier ancien
À fin novembre 2021, le volume de transactions de logements anciens en cumul sur 1 an en France atteignait 1 201 000 transactions, une hausse de 17,5 % sur un an.
Cette progression est toutefois plus faible que celle enregistrée en août 2021 (+ 23 % sur un an).
Le volume de transactions de logements anciens semble avoir atteint une phase de stabilisation. Il devrait se rétablir vers un seuil de référence toujours élevé entre 1 et 1,1 million de ventes dans les prochains mois.
Des prix dans l’immobilier ancien en hausse de 7,4 % sur un an
Les prix des logements dans l’ancien en France, ont augmenté de 7,4 % sur un an. En province, la hausse est de 8,8 % sur un an.
Depuis le 4e trimestre 2020, sur le territoire national, la hausse est plus marquée pour les maisons (+ 9 % en un an au 3e trimestre 2021) que pour les appartements (+ 5,2 %), ce qui ne s’était pas produit depuis fin 2016.
Appartements : des hausses de prix de 2,3 % à 12,9 % dans nos régions
Au 3e trimestre 2021, les prix des appartements anciens ont augmenté de 2,3 % à Lyon, 6,3 % à Metz, 8,4 % à Nancy, 8,6 % à Grenoble, 8,8 % à Dijon, 11 % à Saint-Étienne, 11,6 % à Besançon et de 12,9 % à Strasbourg, par rapport au même trimestre l’année précédente.
Si l’on compare avec Paris, les prix n’y augmentent pas sur cette période, mais le m² médian s’élève à 10 790 €.
Maisons : des hausses de prix de 0,8 % à 12,4 % dans nos régions
Puis, suite aux confinements de 2020, les français ont eu une envie de vert et d’espace. Ce qui explique, le succès des maisons.
En ce qui concerne les maisons anciennes, les prix de vente sont en hausse de 0,8 % pour Dijon, 1,2 % pour Nancy, 2,2 % à Metz, 7 % pour Grenoble, 8,3 % pour Lyon et de 12,4 % pour Saint-Étienne.
Encore des hausses de prix prévues dans les prochains mois
Enfin, les projections issues des compromis et promesses de vente, appelés aussi avant-contrats, montrent une augmentation des prix sur des villes et des agglomérations de taille moyenne comme Angers, Limoges, Dijon ou Saint-Nazaire au détriment de grandes villes comme Bordeaux qui ont sans doute atteint un pic et qui vont connaître une stabilisation voire une légère décrue des prix.
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