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Divorce : que faire de son bien immobilier ?

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En cas de divorce, il faut se poser la question du bien immobilier acheté en commun…  Quelles sont vos options ? Pas de panique, nous allons essayer de vous rendre la situation la plus simple possible !

Si vous possédez le bien depuis plusieurs années

Option 1 : l’un des deux conjoints rachète sa part à l’autre et devient plein propriétaire du bien

L’une des premières options envisageables, est tout simplement le rachat par l’un des conjoints, de la part de l’autre. Ainsi, celui qui rachète la part de l’autre devient propriétaire à 100% du bien immobilier. Cette option nécessite que l’un des conjoints ait les fonds nécessaires pour effectuer le rachat de la part de l’autre. De plus, pour racheter le bien en conservant le prêt, il faudra obtenir de la banque une désolidarisation du prêt, si ce dernier avait été fait à deux.

La banque va réétudier le dossier pour savoir si vous pouvez continuer seul les remboursements. Ils ne devront pas dépasser 33 % de vos revenus. Le nouveau prêt sera alors mis sur la durée la plus longue pour que la charge ne représente pas plus de 33 %.

Option 2 : Revendre la maison après un divorce

La deuxième possibilité est de revendre le bien. Cette option est la plus commune lors d’une séparation. Cela permet aux deux parties de rembourser leur prêt. Par contre, lorsque vous remboursez votre prêt immobilier avant la date de fin de ce dernier, la banque peut appliquer des frais d’intérêts. Ces frais sont négociables lors de la réalisation du prêt, et peuvent donc varier.

Que faire si le bien à été acheté il y à moins d’un an ?

Option 1 : Rachat d’une part ou revente du bien après le divorce

Dans le cas d’une revente assez « rapide » du bien immobilier, les choses sont plus complexes. L’option de rachat de la part de l’un par l’autre est possible, seulement comme le prêt n’aura pas encore été beaucoup remboursé, la part à racheter sera conséquente. La deuxième possibilité, celle de la revente du bien, est ici beaucoup moins simple ! En effet, en si peu de temps, votre investissement ne sera pas encore devenu « rentable » au moment de la revente. Car même si vous revendez votre bien au prix d’achat, alors les frais de notaire par exemple, ne seront pas remboursés…

Option 2 : la mise en location du bien le temps de le rendre plus « rentable »

Cette option est envisageable dans le cas où, vous ne souhaiteriez pas perdre d’argent en revendant directement votre bien. Dans ce cas, il y a la possibilité de mettre ce dernier en location un certain temps, afin qu’il soit un peu plus remboursé et que le marché se porte mieux !

Divorce : faciliter l’échange entre vous et votre ex-conjoint.e

Pour conclure, il arrive que les séparations soient houleuses et que le dialogue soit compliqué.

Si vous faites le choix de la vente ou de la mise en location de votre bien immobilier, l’option de prendre une agence immobilière pour vous accompagner peut être intéressante. Puisque cette dernière pourra se poser en intermédiaire. De même que, dès lors que le bien sera vendu, vous pourrez donner procuration soit à un proche, soit au notaire ou à l’agent pour signer à votre place, vous évitant de vous retrouver face à face.

 

CIECP vous propose de réaliser l’expertise immobilière de votre bien lors d’un divorce :

Divorce séparation

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